samedi dimanche, c'est mieux.
Parlé avec Jérôme au téléphone, dans le même état que moi.
Surtout réconforté par Fred, officiellement manager d'Inter (je suis manager je suis manager je suis manager "Bonjour, je suis manager d'Inter"). Il était là et heureusement. Quel confort grâce à lui. Et quelle classe.
Du coup, je me débrouille pour passer la fin de soirée avec lui et Boris. Je suis heureux dans ces moments là...

vendredi down.
Le concert s'est bien passé.
Un gros soucis technique (vive l'informatique) nous a bien fait flippé. Mais du coup, pas trop de stress quant à la scène elle-même.
On termine 1mn avant que la salle ouvre. C'est chaud. Tout arrive très vite. Intro. Go!
C'est bon! J'ai plutôt un bon retour, public réceptif. J'entends même un "Ivan, ton corps" : je ne relève pas, un peu de dignité ;-)))). On me dira plus tard, qu'on a aussi entendu un "Ivan, t'es doigtant". Aub.... est donc bien là.
On enchaîne, ça se passe bien. Comme d'hab, "La Révolution" fait son effet.
Le Theremin sur "Les arbres en face" aussi. J'avais raison d'avoir confiance en Jérôme.
Léger, hum, vautrage, sur l'harmonica de "L'enferparadis".
C'est la fin, j'adore jouer "je veux tout", c'est très jouissif.
Fin.
claps. Je resterai bien encore un peu. Petite impression qu'on m'aime bien...
Loge, calmé!
Rangeage puis sortie dans la fosse aux lions. Hubert Mounier a déjà commencé.
Très bons échos, bises à profusion, on nous félicite même. Rencontres, surprises, tout est bon à prendre.
Sinon, déception de ne pas avoir pu dire à Hubert Mounier TOUT le bien que je pense de ses disques, de son concert. Il avait pourtant l'air sympa mais le temps.... Quant à ses musiciens, pointures, pros... mais un peu d'humanité... "Bonjour" par exemple...

Puis plus tard, RV à Lille avec les parisiens et "Love" Cath'. On papote (enfin, surtout Aubert). Ok, le coffret "Vogue" de Françoise Hardy est sorti en 92... Heureux de les rencontrer...
Retour, nuit (mauvaise), jour, déprime.

Au final, merci merci merci à tous tous tous!!!

Jeudi 02/02

c'est aujourd'hui, enfin ce soir...

Flippé! en même temps, impatient.

Et puis heureux de voir des gens que j'aime et d'autres que je ne connais pas encore.

Mais ça, ce sera pour après la guillotine. J'ai l'impression d'être un crocodile dans un magasin de maroquinerie. Danger! Mais c'est pourtant ça qui est excitant...